gianpiesport

Rien ne sert de courir, il faut partir à point… traduction pour ceux qui, comme moi, ne comprennent pas le Breton. 

Aujourd’hui,  j’ai participé au marathon du Finistère (la Transléonarde) entre Plouescat et Guissény comme 450 autres marathoniens + 500 en Duo. Je découvrais pour l’occasion le Finistère, département où je ne m’étais encore jamais rendu. Et ce soir je suis complètement conquis! Des richesses de paysages comme pas possible. La mer, la campagne, les habitations, les monuments, tout est super beau. A tel point que j’ai décidé, à l’issu du marathon, d’y rester quelques jours pour le visiter. Les lieux traversés sur le parcours du marathon m’ont emballé. 

    S’agissant de la course, avec une organisation parfaite et de tels paysages, je la classe dans celles que je recommande vivement.  Avec en plus, aujourd’hui, un soleil resplendissant et même un peu trop chaud, tout au moins sur la première partie du marathon. 80% de bitume et 20% de sentiers composent le parcours où le « deuxième » semi est particulièrement difficile avec pas mal de montées et un vent de face qui, même si aujourd’hui il rafraîchissait l’atmosphère, est assez pénalisant pour le runner. Mais c’est le « prix à payer » pour profiter du magnifique panorama qui s’offre aux runners. Ma course a été convenable (01:57 au premier semi) même si les difficultés rencontrées sur la deuxième partie et le manque de tonicité dû à l’accumulation d’épreuves longues en ce qui me concerne m’ont fait faiblir sensiblement par la suite. Mais je suis vraiment très heureux d’avoir participé à la Transléonarde. J’y reviendrai sûrement. Vive la Bretagne!  

  Contrairement à mes habitudes où je donne mes médailles à mes filles, cette 61ème je la conserverai. Sur son ruban est inscrite la date du 28 juin (Happy Birthday Gianpie!).