Reykjavikur Marathon Islandsbanka

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Samedi 18 Août 2012, 8h40 AM, 12000 coureurs (mais seulement 600 sur marathon) prennent le départ de cette 29ème édition. Au programme, parcours kids, 3kms, 10 kms, semi, et, bien sûr, marathon. Une belle journée ensoleillée est annoncée par la météo locale avec une température idéale pour courir d’environ 16 degrés. Une chance! 50 nationalités sont représentées.

Pour moi il s’agit d’une course assez spéciale puisque c’est l’ultime avant mon opération programmée mi septembre (quoi qu’avec moi…!). J’espère aussi que ce ne sera pas mon dernier marathon de l’année (Turin, Florence en novembre?).
C’est donc la grande foule au départ avec à la clef quelques bousculades, mais rien de bien méchant. Les 10 premiers kms sont assez difficiles pour moi, le temps de faire chauffer le moteur. Après tout rentrera dans l’ordre et la course se déroulera « sans difficulté particulière ». Heureusement (retour un instant sur SP!).
Organisation de course tout à fait correcte avec une ambiance toutefois « d’être assez solitaire », particulièrement après la séparation avec les runners du semi au 15 ème et, par instant, des passages en zones de brumes assez denses ( on voit à peine le coureurs 10 mètres devant soit) qui disparaissent rapidement pour laisser place à un large soleil. Pas commun. Un parcours pour homme fort. J’aime.
Mais le fait marquant de ce marathon, c’est la diversité des paysages du parcours emprunté (grandes lignes droites, bord de mer, bois, quelques chemin forestiers…), tous d’une grande beauté. Sûrement un des plus beaux parcours marathons. Je transforme rapidement celui-ci en marathon photos (comme beaucoup d’autres runners) tant les paysages font rêver. Que l’Islande est belle! Les 15 derniers kms, c’est l’apothéose avec une zone biosphère traversée d’une beauté à vous couper le souffle. Réserve d’oiseaux, grandes herbes balayées par le vent, la mer qui jouxte la minuscule voie en méandres qui nous est réservée pour courir et pour couronner le tout un passage brumeux qui donne l’impression d’être enveloppé de coton. Je m’arrête alors une dizaines de minutes « pour admirer ». Je ne suis pas le seul dans ce cas, et j’entreprends d’ailleurs, en anglais, une discussion avec un belle runneuse avant de constater au bout de quelques instants qu’il s’agit d’une italienne de Turin!
5 kms encore et c’est l’arrivée en centre ville (en réalité deux à trois rues seulement composent ce centre ville) pour le finish avec des souvenirs « plein les yeux ». Vraiment un beau marathon.
Pour moi, comme je l’ai dit en entrée de récit, rien a dire sur ma forme, avec des derniers kms « avalés » comme si de rien n’était. Tout pour être heureux en somme! Il y a de quoi.

 

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