Beau temps, frais sans plus, un peu de vent, mais rien de violent, et une organisation parfaite ont fait de cette 24ème édition, disputée le 30 novembre, une réussite. Il faut dire que la ville de La Rochelle s’investit totalement dans cette épreuve, avec une participation de la population, des hôtels et des commerçants à l’image de ce qui est fait, certes à une plus grande échelle, à Boston ou à Tokyo. Bravo, même si personnellement le tracé du parcours me paraît, peut être, manquer d’attrait hormis le centre historique de la ville.
En ce qui me concerne, début de course difficile avec une absence d’énergie, puis une vigueur retrouvée au 15ème qui me laissait penser à un temps final correct (pour Gianpie). Et puis, petit pépin physique au 32ème, sous forme d’une douleur jambe droite de haut en bas m’obligeant à terminer les 10 derniers kms en alternant marche et petite course. A noter que la douleur, pourtant assez violante, disparaît totalement dès que je marche. Dommage, mais bon, rien de terrible non plus par rapport à mes ambitions de course. Ça ne m’a pas privé de terminer mon 52ème marathon, et puis, comme il faut toujours positiver, je dirais que sans un peu de souffrance on n’apprécie pas réellement son plaisir! Je tiens également à dire que cette épreuve m’a permis de retrouver mes compagnons de bike d’il y a quelques années avec qui j’ai vécu quelques moments sportifs intenses, notamment celui du Bordeaux-Paris 2008. Sans eux, jamais je n’aurais réussi. Merci encore Michel et Bibi et bonne chance pour vos runs futurs puisque désormais, comme pour moi, votre reconversion est assurée. Sans oublier, non plus, la présence sur ce marathon de mes potes de la runnosphère parisienne, Hélène, Dare, Renaud… Au final de cette journée, un grand moment de plaisir partagé, aussi, avec ma fille Christine qui m’accompagnait.
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