Marathon International de Marrakech (MIM)
Il est temps de revenir sur cette épreuve courue dimanche 27 janvier, même si elle a déjà été abondamment commentée sur Facebook.
Vendredi matin, nous sommes une quinzaine de runners à nous retrouver aéroport d’Orly pour un départ vers Marrakech prévu à la mi-journée. Le temps est froid, comme depuis une quinzaine de jours sur la région parisienne, et on s’attend à un choc thermique. A Marrakech la température avoisine en journée les 25.
Quand j’arrive au terminal Jean-Luc, Joel, Nordin, Fabien, Carolina family et Momo sont déjà présents.
Jaja et sa compagne nous rejoindront directement, depuis Toulouse, à Marrakech.
Le vol, et c’est une bonne surprise, ne durera que 2h30. Les vents sont favorables. A notre arrivée à l’aéroport de Marrakech c’est un grand soleil et une température qui avoisine les 25° qui nous accueillent.
Transport de l’aéroport vers l’hôtel assuré, check in des chambres et immédiatement nous nous rendons en marchant au « village marathon », distant d’environ de 2 kms de notre hôtel (Hôtel El Andalous), pour prendre possession de nos dossards. La fin d’après-midi sera passée dans le centre de Marrakech pour une première visite. Mais bien vite il nous faut déchanter. Le large soleil laisse place à un temps couvert puis à une pluie relativement abondante. Les Souks seront notre refuge permettant de nous abriter. Vers 20 heures retour à l’hôtel.
Après une nuit réparatrice de la fatigue accumulée pendant le voyage, nous nous retrouvons dans le hall de l’hôtel à neuf heures pour aller faire la course populaire de 5 km dans les rues de Marrakech. Jaja est arrivé hier soir et il sera présent dans le groupe ce matin avec sa compagne. La pluie de la veille au soir a laissé place à un grand soleil. La fraîcheur matinale (pas plus de 6°) laissera bientôt place à une température de 25° dans la journée.
L’après-midi avec Jaja et Jean-Luc, guidés par Momo, nous nous rendons visiter les souks et notamment un certain nombre d’officines qu’il connaît particulièrement bien. À chaque fois nous sommes reçus comme des seigneurs. Qu’il s’agisse du marchand de pâtisserie marocaine ou mieux encore chez Taj l’Apothicaire Berber spécialiste de la Médecine Traditionnelle Marocaine qui nous offrira quelques massages particulièrement relaxants (ce qui me permettra de passer une nuit pré-marathon très réparatrice).
Dimanche matin huit heures, départ du marathon. La température est de 5°, pas plus. Elle passera rapidement, deux heures après, à 25°. Cette amplitude est difficilement gérable, en ce qui me concerne. Mais bon, l’ambiance chaleureuse qui règne tout au long du parcours, très « à la Marocaine », et même un peu « fouillis » par instant (notamment à l’arrivée) me fera vite oublier ce petit souci. Finalement tout se passe bien et ce n’est pas trop marqué que je termine cette course. Comme la plupart de mes potes d’ailleurs.
Le dimanche après midi sera en partie passé au bord de la piscine de l’hôtel, magnifique endroit, que nous quitterons le lundi à la mi-journée pour nous retrouver, après 3h15 de vol cette fois (vents contraires), dans les brumes parisiennes.
Ah oui au fait, j’allais oublier. Dernière précision, le marathon a été gagné par… Gianpie. Non je plaisante, bien sûr. C’est le Kenyan Stephen Tum (que nous avions rencontré dès le premier jour à notre hôtel et qui depuis lors nous saluait à chaque rencontre-vraiment sympa le champion) qui a remporté ce MIM 2013 en pulvérisant l’ancien record en 2 H 08 mns.
Mais quel week-end, une fois de plus. On en redemande!
- MIM le parcours
- Orly airport. Connaissez vous ce Monsieur?
- Notre hôtel
- Course du samedi matin
- Jaja et Gianpie
- Le champion, Stephen Tum