Firenze Marathon

Cette fois ci c’est juré, il s’agit vraiment du dernier (de l’année). Le douzième en 10 mois, depuis le premier couru fin janvier à Dubaï. De la chance il en faut pour pouvoir « assurer » un tel programme. Mais soyons réaliste la préparation physique (notamment l’hygiène de vie) et morale joue aussi un rôle très important, n’en doutons pas. Mais revenons à cette participation dans une ville d’une richesse invraisemblable.

En premier lieu, il convient de signaler (encore de la chance?), un temps ensoleillé à souhait même si assez froid le matin (-1 degré), changeant du temps pluvieux rencontré lors des trois dernières éditions semble-t-il.

Côté organisation tout a été parfait, à part peut être, l’aspect un peu fouillis rencontré sur le parcours lors des 5 derniers kms où se mêlent touristes et runners. Mais à part cela rien à dire. Un beau tracé notamment, bien sûr, la traversée de la vieille ville et l’arrivée sur la Piazza Santa Crocce. Ambiance chaleureuse avec un public important.

Une dizaine de mille de participants s’étaient donnés rendez vous pour cette épreuve, venant de nombreux pays.

 

De mon côté rien de notable à signaler. On peut dire que j’ai couru en appliquant « la méthode Berlusconi ». A savoir, quand tout va mal il faut dire que tout va bien. Ce n’est pas moi qui le dit, j’ai bien trop de respect pour mon vieux pote Silvio, mais il s’agit d’une réflexion entendue dans le peloton. Drôle non… Redevenons un peu sérieux pour convenir que j’y suis allé, cette fois encore, de mon traintrain habituel. En ce 27 novembre, comme lors de mes précédents marathons (notamment en novembre, New York le 6, Turin le 13), rien de mauvais à signaler, que la joie de courir sur les plus beaux parcours mondiaux. Quelle chance (encore!), j’en redemande. Pour cela il faudra vous rendre, chers amis lecteurs, à la page réservée à mon programme 2012.

Bonne lecture à tous.