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Thierry Rolland avait déclaré, à l’issue de la finale de la Coupe du Monde remportée par la France, « après ça on peut mourir »! Mon reporter préféré s’en est allé bien après (triste), 14 ans exactement. Si j’en crois cet adage, c’est en 2027 que je me retirerai car moi aussi aujourd’hui j’ai vécu des instants de bonheur exacerbés lors de ma première sortie (50 bornes) sur mon nouveau vélo. Fantastique. J’ai toujours eu des beaux vélos. Des Look, Colnago, Lapierre, un Time VIP très haut de gamme, un Niner (le nec plus ultra des MTB 29 pouces) et un Cervélo R3, tous équipés de ce qui se fait de mieux chez Campa. (je suis Rital et je le reste…), Mavic ou bien encore Zipp. Mais là, avec le S-Works superbement réglé à mes mensurations par mon pote Mathieu (le meilleur vélociste que je connaisse), équipé du groupe Campa. Record EPS et des Zipp 303, on frôle la perfection. Rien à redire. Rigidité mais confort extrême, relance comme il convient et, ce qui m’a étonné, pas un bruit parasite. Les vitesses du groupe Campa. Record EPS passent par effleurement de la touche/manette comme pour un IPhone. Du bonheur, rien que du bonheur. Pour le moment il est équipé d’un plateau de 52/36, alors que je suis plutôt habitué au 50/34, mais là aussi rien à redire. Je n’ai ressenti que de l’aisance sur un parcours que j’ai recherché plutôt vallonné (les collines du Perche) pour avoir valeur de test. Certains roulent en Mercédes, moi en simple Peugeot (163 cv tout de même), d’autres côtoient de jeunes et jolies personnes, moi j’ai « la même » depuis 45 ans; par contre je roule en S-Works. Et j’en suis heureux! Allez, j’arrête de délirer, mais avant encore merci à mon pote Mathieu le boss de Mondovélo le Mans Nord.